Le jour où la France a dit "non"
16 févr. 2025Voila pourquoi il faut imposer la paix sur terre.
Signez et faites signer ma pétition. VITE.
Robert FRANCESCHI
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34 Rue Gabriel PERI FRANCE 06 19 78 16 82 |
Miramas, le 17 décembre 2021
Monsieur le Président de la République
Palais de l'Élysée
55 rue du Faubourg-Saint-Honoré
75008 Paris
France
Monsieur le Président,
De partout, en Europe et dans le monde, des idées nauséabondes refont leur apparition. Il en va de même dans notre pays.
La campagne électorale, que certains ont débuté, échauffe les esprits et fait monter la tension entre groupes antagonistes. « Ce pelé, ce galeux, d'où vient tous nos maux » si je paraphrase Monsieur de La Fontaine, est d’actualité. Le migrant est la cible désignée à la vindicte populaire car il serait la source de tous nos maux. Ce n’est pas nouveau mais inquiétant pour notre société où la violence est omniprésente. Les flux migratoires pourraient augmenter substantiellement à cause du réchauffement climatique.
Faut-il lutter contre les migrations ?
Certainement.
Aucun continent ne pourra supporter seul toute la misère de la terre. Il faut éviter les drames humains, les risques de chaos.
Mais, comme le dit Monsieur Robert Badinter, « Une défense c'est l'identification du mal. », c’est donc à l’émigration qu’il faut s’attaquer.
C’est pourquoi j’ai proposé à Monsieur Nicolas de Rivière, Ambassadeur et Représentant permanent de la France auprès des Nations unies, de présenter la résolution ci-après lors de l’Assemblée Générale de l’ONU :
« Adaptation de l’article 13 de la déclaration des droits de l’homme (DUDH) :
Article 13
1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un État, hors zones à risques.
2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.
3. Nul ne doit être contraint à l’exil pour quelque raison que ce soit : politique, ethnique, religieuse, climatique, … . L’émigration ne peut être que choisie et non contrainte.”
La France, défenderesse des droits de l’homme, doit montrer la voie de la modernisation de la Déclatration Universelle des Droits de l’Homme.
La France va assurer la présidence de l’Union Européenne en 2022. Tous les efforts devront être déployés pour inciter les états membres à soutenir la France dans son combat. La tension aux frontières doit retomber, les drames doivent être évités et la sérénité revenir partout dans l’espace européen et dans le monde.
Je sais que vous aurez à cœur de défendre cette idée et vous prie d’accepter, Monsieur le Président, mes respectueuses salutations citoyennes.
Robert Franceschi
Robert FRANCESCHI
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34 Rue Gabriel PERI FRANCE 06 19 78 16 82 |
Miramas, le 17 décembre 2021
Ambassadeur et Représentant permanent de la France auprès des Nations unies
245 East, 47th Street - 44th floor
New York, NY
10017 Etats-Unis
Monsieur l’Ambassadeur,
Je viens d’adresser le texte suivant au Président de la République Française :
« Monsieur le Président,
De partout, en Europe et dans le monde, des idées nauséabondes refont leur apparition. Il en va de même dans notre pays.
La campagne électorale, que certains ont débuté, échauffe les esprits et fait monter la tension entre groupes antagonistes. « Ce pelé, ce galeux, d'où vient tous nos maux » si je paraphrase Monsieur de La Fontaine, est d’actualité. Le migrant est la cible désignée à la vindicte populaire car il serait la source de tous nos maux. Ce n’est pas nouveau mais inquiétant pour notre société où la violence est omniprésente. Les flux migratoires pourraient augmenter substantiellement à cause du réchauffement climatique.
Faut-il lutter contre les migrations ?
Certainement.
Aucun continent ne pourra supporter seul toute la misère de la terre. Il faut éviter les drames humains, les risques de chaos.
Mais, comme le dit Monsieur Robert Badinter, « Une défense c'est l'identification du mal. », c’est donc à l’émigration qu’il faut s’attaquer.
C’est pourquoi j’ai proposé à Monsieur Nicolas de Rivière, Ambassadeur et Représentant permanent de la France auprès des Nations unies, de présenter la résolution ci-après lors de l’Assemblée Générale de l’ONU :
Adaptation de l’article 13 de la déclaration des droits de l’homme (DUDH) :
Article 13
1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un État, hors zones à risques.
2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.
3. Nul ne doit être contraint à l’exil pour quelque raison que ce soit : politique, ethnique, religieuse, climatique, … . L’émigration ne peut être que choisie et non contrainte.
La France, défenderesse des droits de l’homme, doit montrer la voie de la modernisation de la Déclatration Universelle des Droits de l’Homme.
La France va assurer la présidence de l’Union Européenne en 2022. Tous les efforts devront être déployés pour inciter les états membres à soutenir la France dans son combat. La tension aux frontières doit retomber, les drames doivent être évités et la sérénité revenir partout dans l’espace européen et dans le monde.
Je sais que vous aurez à cœur de défendre cette idée et vous prie d’accepter, Monsieur le Président, mes respectueuses salutations citoyennes. »
Je suis persuadé que c’est la solution pour offrir un monde apaisé aux jeunes générations et je pense, qu’en accord avec Monsieur le Président, vous porterez la question devant le conseil de sécurité de l’ONU.
Acceptez, Monsieur l’Ambassadeur, mes salutations respectueuses.
Robert Franceschi
Robert FRANCESCHI
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34 Rue Gabriel PERI 06 19 78 16 82 robert.franceschi@laposte.net |
Miramas, le 2 décembre 2019
Monsieur le Secrétaire Général
ONU
UNITED NATION
10017 NEW YORK
Monsieur le secrétaire général des nations unies,
Citoyen français je suis inquiet de certaines évolutions de la société d’aujourd’hui et en particulier toutes celles qui concernent les migrants. Ils sont de plus en plus nombreux ce qui provoque des tensions et le retour d’idées qui par le passé ont été néfastes aux humains.
Et on nous annonce une augmentation des flux migratoires liés au réchauffement climatique. C’est inéluctable.
Soucieux de l’avenir de mes petits-enfants, j’ai longuement réfléchi au problème et, adepte de « l’arrête d’Ishikawa », j’en suis arrivé à la conclusion qu’il faut traiter le problème à la base. Il faut se pencher sur l’émigration, la cause, avant de traiter l’immigration, la conséquence.
Problème universel et au nom de la responsablilté universelle, c’est vers vous que je me tourne car vous êtes le seul organisme en capacité d’apporter une solution.
J’estime que tout être humain doit être libre de choisir son lieu de résidence et celui de sa famille (hors zones à risques, bien entendu).
Je propose que ce droit soit inscrit dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Puisque « Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un État » l’article 13, pourrait être complété par un point 3 ainsi libellé :
« Nul ne peut être contraint à l’exil pour quelque raison que ce soit : politique, de guerre, ou climatique, … . »
Je suis conscient des bouleversements qu’une telle mesure va entrainer : prise de mesures pour éviter les migrations climatiques, arrêt des conflits et instauration de la paix, fin de la colonisation économique des continents, … .
Copie à Monsieur le président de la République Française : Pour que la patrie des droits de l’homme soutienne cette idée et la porte haut et fort. |
Mais aussi développement de la solidarité universelle pour aider les états à mettre en œuvre les mesures de protection des populations. Les surproductions des pays riches venant en aide aux plus démunis sous une forme substantielle et non plus sous forme financière trop souvent détournée et donc inefficace.
Cette résolution sous tend les points 16.3, 22, 23, 25.1 et 28.
Avec les salutations respectueuses d’un citoyen de la planète.
Robert Franceschi
Pour mes petits-fils, pour les jeunes générations, signez et faites signer la pétition.
Il faut faire de l'ONU le gardien de la paix sur terre.
Il faut réformer l'ONU : en cas de conflit les armées des non-intervenants doivent être placées sous les ordres de l'ONU sous la direction des pays qui n'ont pas d'armée pour protéger les populations.